Confusion.
La terre se pourrit des péchés de ces hommes qui flânes sur des proies sans défenses, et la politique de ce monde n'en n'a que faire. Corrompus par l'avidité et leurs envies d'étendre leurs pouvoir, le monde est entrée dans un règnent chaotique ou la loi du plus fort est au rendez-vous.
Ces proies sont victimes de la soif de ces prédateurs sans scrupules. Se sont des personnes comme vous et moi.
Un jour tu te lève, et le lendemain n'est déjà plus, car le destin en décidé autrement de votre sort.
Vous êtes qu'un pion sortit tout droit pour l'abattage, à l'attention de ces esprits qui règnent dans les aires, et qui se marrent bien de vos tourments.
Du moins c'est ce que je pensais, jusqu'au jour ou j'ai découvert les pouvoirs qui mettait insufflé, et je ne savais pas d'où elle provenait, mais quel importance.
J'avais le pouvoir de passer vers un autre monde, un monde identique à la notre, à la seule différence, c'est que personne ne me voyait et je ne laissais aucune trace de ma présence.
Ma priorité était de subvenir au besoin de ma famille, de les mettre à l'écart de ce monde dangereux. Ma femme et mes deux filles n'étaient pas à l'abri de l'oppression de ce monde, d'un crime, et l'idée de les perdre m'aurais rendu fous.
Au premier abord, je n'arrivais pas à faire la liaison entre protégé ma famille et mes nouveau pouvoirs, mais tout devint claires, comme personnes ne pouvaient m'apercevoir, je n'avais qu'à éliminer de la surface du sol les hommes méchants.
Je rétablirais ainsi ce qui fut jadis un monde ou les hommes pouvaient encore croire en un dieu, un monde ou les hommes pouvaient cohabités entre eux. Une vie de paix et de joies.
Il me fallait pour cela détruire les hommes haut placés qui dirigeaient ce système infect. S'il me fallait tuer tous les hommes, le monde ne serait déjà plus, mais en instaurant une nouvelle politique, la vie reprendrait de sa beauté.
Il me fallait étudier scrupuleusement l'endroit exacte ou ces dirigeants se trouvaient, combien ils étaient à ce partagés le monde, mais surtout, quel en serait les conséquences. Je ne parle pas de ces tueries, mais le fait de danser entre ces deux mondes. Quel serait les répercutions dans la vie réel.
J'ouvris le portail, et passa de l'autre coté. J'entrepris le long voyage qui se présentait devant moi, à la recherche de ces misérables humains sans encéphales.
La nuit était prête à reprendre vie, que j'installais mon campement, afin de faire face à ce vent arrogant et à ce froid intrépide.
La lune dominait dans cette ombres austère, et les animaux somnolaient, leurs faces contre terre à vous regardez du coin de l'œil, prudentes, de peur que vous rusiez à leurs égard.
Soudain l'animal contracta un malaise, et je m'approchais de plus près, intrigué à son sujet. L'animal changea d'aspect, le gibier était comme mort, et pourtant il était vivant. Ces yeux noirs étaient comme les profondeurs du shéol. Il rongea sa peau jusqu'au sang. Il dévorait sa propre chaire, comme affamer, et m'apercevant, il se jeta sur moi.
Réussissant à me débattre, je commençais à courir pour me réfugier dans un chalet qui se présentait devant moi.
Je ne comprenais pas. Personne pouvait pourtant me voire ! Ni même sentir ma présence ! Mais quand la nuit fut apparût, elle transforma toutes formes de vie en un être inhumain.
Je devais retourner vers le portail, c'est-à-dire par la porte de ma maison, pour retourner dans mon monde.
J'entrais dans ma ville, et des personnes mi mortes mi vivantes s'avancèrent vers moi, des personnes pourtant que je connaissais.
Je ne pouvais pas les tuer, sinon cela ce répercuterait dans notre monde.
J'essayais d'échapper à leur désir nuisible, assoiffé de sang et chair humaine fraiche.
Leurs dents de cisailles m'éblouissaient dans les yeux, et leurs griffes d'acier qui frôlaient les murs, m'assourdissaient.
Je ne savais que faire, car la peur m'envahissait, et les morts-vivants trainants dans la ville n'étaient que trop nombreux.
Je devais m'effrayer un chemin jusqu'à la porte d'entrer de ma maison, pour que je puisse retourner à la vie réel. Cette vie n'était pas des plus belles, mais au moins les gens avaient un semblant de normalités.
Et dans un sentiment d'héroïsme, je m'élançais droit sur la foule de morts-vivants, trainant mes coups dans leurs visages fragiles, et dans leurs corps déchirés par les ténèbres de la nuit.
Leurs griffes s'enfoncèrent dans ma peau, et je n'en avais que faire. Ma colère s'enflamma à l'idée de perdre la vie sans pouvoir revoir ma famille une dernière fois, et dans un sentiment de désespoirs, je pris le pistolet qui était dans l'étui du policier, puis, je tirais dans leurs têtes.
Un passage s'ouvrit à moi, mais je ne pouvais pas courir, car ma jambe se perdait par les morsures du zombi, qui s'affalait sur moi à toute cause.
N'aillant plus de balles dans le pistolet, et gisant à terre à moitié mort, je rampais jusqu'à la porte d'entrée de ma maison, trainant avec moi ce monstre.
J'arrivais à ouvrir la porte et à passer outre le portail, et, la lumière m'éblouissait. La mort était-elle déjà présente au pat de la porte ?
Je sursautai de mon lit, car la lumière du jour m'avait arrachée de mon cauchemar. Je regardais par la fenêtre, et tous était normal. La vie était paisible, les gens promenait leur chien, tondaient la pelouse, lisaient leur journal sous le soleil éclatant. Mais quelque chose n'était pas normal. Ma femme ne m'avait pas encore apporté mon café.
Je descendis les escaliers, et alla dans la cuisine.
Du sang sur tous les coins du mur ! Et ma femme et mes enfants baignant dans le sang ! Mes mains étaient remplies de ce rouge écarlate. La confusion régnait dans mon esprit.
J'étais la bête à tuée, la bête qui s'accrochais à la jambe du type qui essayait de fuir.
Je la sens en moi. Je crois... quelle enviait ma vie et mon corps mortel.
Je suis le reflet de ces cauchemars en pleins action.
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Style : Nouvelle | Par samuelrivabella | Voir tous ses textes | Visite : 778
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