Condamné à survivre.
Priez pour qu'il pleuve, car nous avons soif. Priez pour qu'il y ait de la nourriture, car nous mourrons de faim. Priez que notre mort n'arrive pas en hiver, car nous avons froid. Continuer à Priez, pour que nous puissions recycler vos actes empreints d'amour, et ainsi nous nous consolerons dans les temps de détresse.
Mais ne nous regardés pas de travers parce que nous sommes sales. Ne nous juger pas parce que nous sentons mauvais. Ne nous critiqués pas à cause de notre langage, mais c'est ce monde qui nous à tous pris.
Toutes ces choses qui nous rendes heureuses, la famille, notre confort, notre image, notre situation familiale et sociale. Ils nous ont tous pris.
Ils nous ont juste laissés les choses les plus vils de ce système néfaste. Un cadeau empoisonné. La mort elle même est des plus belles.
Les yeux de ces gens, des yeux plus acérés qu'une épée à double tranchant vous blessent le cœur jusqu'à ce que vos yeux s'alourdissent dans la peur.
Nous rodons de ci et là, dans les ombres les plus obscures de leurs vies sociale.
Nous sommes assoiffés de paix et de justice et, à l'heure où je vous parle, je meure des plus forts.
La famine n'a de cesse à ronger mes os. J'ai même pus toucher l'abîme de l'enfer. Ce feu...ce feu ardent j'en rêve et j'en rêve d'y être consumé et, de laisser s'échapper mes pensées dans un monde meilleur.
Demain peut-être, leurs spires viendront nous chercher, et nous serons retranchés de nos corps qui flânent à cause de leurs perversités meurtrières dirigés par ces bêtes sans scrupules.
Ce système est dirigé indéniablement par des bêtes, puisque le pain qu'ils mangent, c'est la méchanceté et, c'est le vin des actes de violence qu'ils boivent.
Dieu est-il aveugle ! Sommes-nous que des pantins, des ombres qui passe et qui meurt sous le reflet embrasé de lumière ! Je ne peux y croire !
Les dirigeants de ce monde sont devenus fous. A la recherche de la perfection, ils ont créés des monstres à la force surhumaine. Leurs intelligences dépassent de bien des manières la notre et, leurs longévités sont bien triples à notre survie sur cette terre.
Des monstre sans conscience, des soldats maniables et sans peur. Ils ont dévastés toutes les puissances mondiales sur cette terre et, ils ont plongés l'univers dans la crainte et le chaos.
La terre suivi une perturbation dans notre chaine alimentaire et, notre seul nourriture sont les cadavres laissés à l'abondons par ces êtres sans cœurs et sans pitiés. Ils tues par oui dire et, se nourrit pour le plaisir de satisfaire leurs estomac estompé par le manque de nourritures (les humains) sur la planète.
Ils attaquent généralement la nuit, quand nous sommes plongés dans nos cauchemars. Ils vous lancent de l'acide dans les yeux puis, vous étripent, le cœur à l'air.
Je le sais, car j'ai vu mes parents se faire dévorés devant mes yeux qui l'anguis de vengeances. Mais face à leurs surnombres et à leurs puissances démesurées, je ne puis rien faire.
Nous devons réussir à survivre à ce système enténébré par ces humains dont les mains sont encrassées de meurtres, et cela par tous les moyen envisageables.
Les étoiles récrimines les péchés de ces assassins en s'enfuyant vers d'autre cieux, et la lune saigne de leurs animosités.
Au loin là bas, une armée de créature qui dévaste un par un le peu de survivant restant sur cette maudite terre. La peur m'envahissait, et je courrai m'abriter dans les décombres de la ville. Mes larmes coulait à flot à l'idée de perdre la vie, et mes membres fut paralysé par la peur.
Je gesticulai dans mes pensées qui avaient déjà quitté ce corps couard, en adjurant avec insistance à dieu de nous sortir de ce cauchemar.
Quand Soudainement, j'entendis dans la pénombre de la nuit, comme quelque chose semblable à du cor. Une armée d'anges descendaient tous droit du ciel. Ils étaient montés sur de chevaux de couleur écarlate, et leurs regards scintillants de feu qui incarnent la puissance, me pétrifiaient.
L'atmosphère était en ignition de par ce feu qui jaillissait de ces montures impressionnantes, et indomptable.
Les ailes de ces belles bêtes, qui battaient à toute hâte, faisaient pleuvoir sur la terre des pluies de météorites, écrasant ainsi quelque créature incurie.
Je sortis de l'encombre qui me servais d'abris, pour pouvoir mieux apercevoir cette bataille. La terre était tombée dans une apocalypse sans dessus dessous.
Une créature néfaste se jeta sur moi et arracha mon bras d'un coup sec. Je criai de toutes mes forces. La mort était devant mes yeux.
Un ange arriva à mon secours, et trancha le corps délicat de ce monstre. Ma tête était remplie du sang de la fureur de l'ange.
Ces monstres frémissaient devant ces saints anges puissants et vigoureux dans leurs missions et, la lueur de sa gloire me faisait renaître, car sa pureté et sa sainteté aveuglait toutes mes pensées impures face à l'apocalypse qui régnait dans ce monde.
Son bouclier me protégeait de tous projectiles lancés à défaut de désespoir, et la puissance de ces coups transpercèrent leurs membres desséché et brulé par le flux d'air embrasé qui régnait dans l'atmosphère.
Nous nagions dans le bain de sang de ces macchabés déchu qui frémissaient dans leurs armatures si délicates et si pathologiques qu'ils faisaient peine à regardés. Le chasseur était devenu la proie de nos vengeances les plus meurtrières. Il faut dire que l'attende nous restaient haletantes depuis bien des années et, notre vindictes s'affermissaient au files des années passés à survivre dans ces rues rongés par ces monstres sans scrupules et sans consciences du bien et du mal.
Leurs cris de désespoirs retentissaient depuis l'orient jusqu'à l'occident, elles surgissaient dans nos oreilles sensibles face à l'effigie de la représentation des ces arts meurtrières qui se peignaient dans nos cœurs et nos esprit dévorés par cette guerre, elle n'aurait pourtant pas de raison d'être, si les dirigeants de ce monde n'étaient pas si abusives dans leurs domination, mais la soif de pouvoir et la prépotence sur cette planète, n'est que trop peux dans ce monde en perpétuelle changement.
Les conséquences sont désastreuses, et les pertes sont douloureuses, car tout l'écosystème a été bouleversé par cette bataille sanguinaire et destructrice. Les animaux dévorent les trépas entassés les uns sur les autres et, les arbres sont desséché par le manque d'eau.
Nous sommes débarrassés de l'oppression de ce système tyrannique et Le sol est rempli de ces créatures méphistophéliques mais, les cadavres humains, eux ce compte par centaine, et Les pertes sont très lourdes.
Et pourtant, l'odeur nauséabonde de ces spires me réjouis que la victoire fût arrivée à une apogée ou ni guerre, ni méchanceté n'aurait plus raisons d'être sur cette terre.
Les légionnaires de dieu disparaissent peu à peu dans la masse nuageuse de notre environnement et le ciel nous sourit.
Nous fûmes ainsi délivrer de l'oppression et de la cruauté de ces hommes tyranniques.
Mais Après des mois de recherche, j'entrai dans une colère terrible, car J'étais le seul survivant de cet enfer. Dieu m'avait-il laissé survivre pour que je puisse par la suite mourir de solitude !
- Pourquoi me fait tu subir autant de malheur ? Achève-moi de mon âme damné de souffrance, pour que je puisse moi aussi m'endormir dans la mort.
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Style : Nouvelle | Par samuelrivabella | Voir tous ses textes | Visite : 647
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