C'était
dans l'unique librairie
d'une bourgade
--comme un dernier fanal
dans la nuit.
En feuilletant,
au hasard,
une anthologie
de poésie
je découvris
les lignes
que tu avais écrites
à mon sujet.
Quelques mois plus tard,
un article de journal
annonçait que tu étais
dans le paradis des poètes.
Ce matin,
je pense à toi
comme à d'autres,
que je n'ai jamais,
comme dit Rilke,
que "frôlés"
"par des coups d'ailes".
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Style : Poème | Par michelconrad | Voir tous ses textes | Visite : 752
Coup de cœur : 9 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : monalisa
ENVOL MAGNIFIQUE ET SENSIBLE VERS LE ROYAUME DES POÈTES. JOLIMENT EXPRIMÉ.
pseudo : ciloum
un petit moment de bonheur partagé, merci
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