Tu hère sur cette terre toi l'âmes en peine
Petit gosse de misère, enfant juif effacé par la haine
La haine des hommes et de la guerre

A peine arrivé ici, ta vie aura été d'essayé de fuir
Pour avoir le droit de respirer, mais il t'on en empêché
Il auront fait coulé le sang, vous entassent comme bêtes
Dans des wagons tout pourrissent de saleté, de mort et de poussière

Vous conduisant a l'abattoir comme de vulgaire brebis
J'ai du mal à lire cette histoire qui pourtant a été ta vie
Pas une tombe pas une pierre pour enterrer vos corps meurtris

Il ton dis que t'allais prendre une douche,
Te méfiant pas,
Tu es rentré dans cette pièce rouge (sang)
Derrière vous poussait des soldats
C'était en vérité un cercueil géant
Pour vous tuer tous a la fois

Malgré tout tu as continué d'avancer,
Les yeux ébahie ne sachant que penser
Dans le fond est-ce pas mieux ainsi
Tout petit que tu étais
De ne pas savoir que c'est pour y mourir

Les hommes sont d'une cruauté
Combien sont tombé sous ses rafles
Combien d'homme femme et enfant
N'ayant plus d'identité
Si ce n'est un numéro de déporté

Si l'on ferme les yeux on peut percevoir dans le noir
Tous ses gents suppliants de les laisser vivre,
Un dernier espoir
Et ses regards pleins de cruauté souriant
Et comptant le nombre de gents qu'il allait tué
Voila ce que furent les dernières heures
De tout c'est déporté