Tu voulais que j'écrive avec le sourire
Mais la seule encre visible sur mes feuilles sont mes larmes
Mon coeur, défendu par la tristesse, dont mes pleurs sont les armes
Ce que je ressens et qui me fait pleurer me donne la force d'écrire
Ce texte, le testament de la lâcheté d'un homme
Incapable de rendre heureux les personnes qui l'aiment
Qui préfère se tourner vers la facilité sans ressentir de gêne
Cette facilité, le deal, qui a montré qu'à seize ans, j'étais plus un môme
Une belle connerie dans ma vie m'as-tu fait remarqué
De peur de perdre quelqu'un comme toi, je me remet en question
Et je me rend compte que la vie que je menais n'était qu'une illusion
Tes paroles, la voix d'une sagesse, qui m'a fait revenir à la réalité
Maintenant je pense que je vais changer ma façon de penser
Il fallait qu'un jour le déclic se fasse, merci de l'avoir provoqué
Ces deux dernières lignes sont écrites avec mon sourire
Tu voulais savoir ce que ça donnerait, à toi de les lire:
La vie ne peut pas être celle dont on rêve chaque nuit
Mais prend ton courage à deux mains et même la rose noire rougît.
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Style : Poème | Par Guim | Voir tous ses textes | Visite : 918
Coup de cœur : 12 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : monalisa
CHAPEAU CETTE PRISE DE CONSCIENCE. TU ES VRAI AVEC TOI MÊME ET C'EST UNE GRANDE QUALITÉ.
pseudo : Phil
Je ressent fortement tes mots, peut être y suis je prédisposé, je connais ce genre de trouble.
pseudo : Lulu
Non seulement tu as eu une prise de conscience, ce qui est une bonne chose en soi, mais en plus tu as du talent !
pseudo : ciloum
vraiment un bon style, percutant
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