Quand je suis passé près d'elle,
Elle était vêtue d'une robe bleue,
D'un azur plus joli que le ciel,
Qui lui donnait un éclat lumineux.
Il était vingt trois heures,
Lorsqu'elle à scintiller,
Ca a fait palpiter mon cœur,
Et j'en suis resté « bouche bé »!
Comme beaucoup de monde présent,
Je n'ai pas retenu mon émotion,
Quand tout est devenu brillant,
Sous le feu de centaines de lampions.
Les douze étoiles jaunes,
Accrochées à sa robe bleue,
Faisaient d'elle une vraie icône,
C'était magique et merveilleux.
Passez donc par là un soir,
N'hésitez pas à faire un détour,
Et venez l'admirer dans le noir,
Elle est aussi belle qu'en plein jour.
On peut dire ce qu'on veut,
Cette dame en fer sait charmer,
Avec des attributs avantageux,
Qui continuent à nous impressionner.
Paris sans sa tour Eiffel,
Ca ne serait pas Paris,
Sa beauté est universelle,
Et dégage une réelle féerie.
Elle reste un monument très visité,
Prisée par de nombreux voyageurs,
Qui aiment venir l'admirer,
Comme moi, et à toutes heures.
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Style : Poème | Par Hubert Mordain | Voir tous ses textes | Visite : 830
Coup de cœur : 12 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : monalisa
HUBERT TU RENDS UN BEL HOMMAGE A CETTE SI JOLIE DAME QUI FASCINE LES ÊTRES DE TOUT PAYS ET DE TOUTES LANGUES, QUELLE UNIVERSALITÉ CE BIJOU FÉMININ.
pseudo : Hubert Mordain
Oui, c'est vrai, et j' adore m' y rendre...Merci pour ton commentaire Monalisa
pseudo : MOSFAN
Prenante est cette fascination qu'on ressent tout au long du texte;ce poème est un vrai bouquet d'éloges sincères.
pseudo : LUI
encore bravo pour ton style et ton originalité. Quand je te lis je suis comblé.
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