S'il y a un paradis,
aucun de mous ne sera admis,
car l'amour dans notre coeur,
pour nos frères et soeurs;
il n'y en a plus.
Ne pleurons pas leur mort,
quand elle surviendra
car l'amour,
il n'y en a point.
De notre vivant nous devons aimer;
trop tard quand la mort arrive
pour avoir des regrets.
Eux ils ont oublie,
à eux seuls ils pensent
Mais moi je n'oublierais jamais,
jusqu'à la fin je souffrirais,
de cet amour perdu entre frères et soeurs.
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Style : Poème | Par ella | Voir tous ses textes | Visite : 1614
Coup de cœur : 9 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : Derek
Les liens fraternels font partie de ces liens les plus importants (bien plus que ceux vis-à-vis d'une amourette) qu'il faut tout faire pour entretenir avant que le Destin ne vous en empêche pour de bon ... puisse celui qui se trouve coupé des siens avoir suffisamment de force pour se battre et entretenir ce lien. Dans l'espoir, ella, que ça ne soit pas ton cas. En tout cas, magnifique poème.
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