Quand Roméo pleurait les traits d'une fillette
Moi j'attendais caché, que son glaive l'expire
Alors son corps fleurait la mort de Juliette
Je n'osait plus lâché la main de Shakespeare
Mon Rimbaud en secret sans Roman ! En conquête
D'un recueil taché de "sonnets qui font rire"
Pour lui je consacrais sous un tilleul la quête
D'un baiser dégrafé qu'il se mit à m'écrire !
C'est moi leur patronne leur muse ou leurs névroses!
Moi sous ma couronne de myrtes et de roses
Le souffle provocant! l'enchantement des lyres!
A tes noces je sonne un parfum de jamais
Tu plisses l'éloquent ! Tu lisses les délires !
Ta passion va ! S'évoquant... Ce qu'avant tu clamais !
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Style : Poème | Par fantomiald | Voir tous ses textes | Visite : 822
Coup de cœur : 9 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : monalisa
FANTOMIALD C'EST UN POÈME MAGNIFIQUE AVEC DES MOTS MAGIQUES ET DES PHOTOS SPLENDIDES. MERCI POUR CETTE MERVEILLEUSE OEUVRE DU VERBE
pseudo : Isalou
Un superbe poème qui a énormément de classe ! Merci aussi pour le soin apporté à l'insertion de très belles photos !
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