Ce matin courant à travvers la clairière
Un lapin me donna la main
Il me suivi jusque dans mon jardin
Et s'amusait à sauter la barrière.
Auprés de mon lapin les jours passèrent.
Mais un matin vint, où dans mon jardin,
Je ne vis plus mon cher petit lapin.
Depuis ce jour s'éteignit la lumière.
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Style : Poème | Par pierrine | Voir tous ses textes | Visite : 986
Coup de cœur : 10 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : Derek
Désespoir causé par le départ d'un être cher, ce lapin pourrait être n'importe qui comptant plus que tout en ce monde ... nous avons tous auprès de nous notre lapin qui nous amuse, nous console, nous rassure ... mais vient le temps où il n'est plus, et il faut pour lui et le repos de son âme continuer à vivre.
pseudo : Isalou
Joli poème exprimant simplement la douleur de l'absence. Merci, Pierrine, pour ce texte touchant et bienvenue sur ce site !
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