pseudo : ficelle

...et je suis sans voix. Que te dire après cela que tu ne saches déjà ?

pseudo : monalisa

CHUT SILENCE. TA RÉALITÉ NOUS LAISSE MUETTE. PRENDS SOIN DE TOI SURTOUT.

pseudo : Fendjel Abdelmadjid

Cette prose émouvante est d'une réflexion digne d'éloges.En effet ,nous sommes dans "la civilisation de la ligne",une triste réalités des temps modernes,en tant que phénomène social aggravé par l'influence et les suggestions perpétuelles des médias qui sont beaucoup plus préoccupés par le gain d'argent que par la santé et l'harmonie physique d'autrui.Vous venez de décrire avec perspicacité l'état de prostration de ses innombrables âmes en quête de look idéal et qui bien souvent,par méconnaissance dépérissent d'inanition,au point où le miroir,comme vous le dites à juste raison "devient objet de torture".Vous êtes ingénieuse et cette prose vous introduit majestueusement dans la "constellation Mytextienne".Toutes mes félicitations!Continuez!

pseudo : bijoucontemporain

je souscris à ce que dit Fendjel Abdelmadjid, j'ajoute que l'écriture est une vraie nourriture, parfois un vrai remède. Merci pour ces mots

pseudo : BolchoÏ

Je suis très touchée par ton poême... il dégage une grande souffrance décrite avec peu de mots et en peu de vers. C'est violent, incisif, comme un coup de couteau. Je l'ai reçu comme ça. Si tu livres ton malaise dans l'écriture, c'est que tu n'es pas dans le déni, et c'est à mon sens une sacrée belle preuve d'envie de vivre. Tout autant que ton esprit, il te faut nourrir ton corps. Si c'est douloureux au début, ça deviendra plaisir car tu ne rêveras plus ces belles formes dans le miroir. Ta psyché te renverra la belle image de toi. Et nous, on ne t'aimera pas moins !

pseudo : ptitechoupinette

quelle horrible maladie si bien exprimée ! bon courage et prenez soin de vous !

pseudo : BAMBE

Et derrière le miroir la Vie s'était endormie et attendait un rayon d'espoir pour s'éveiller. Courage ma belle, laisse on écriture être ce rayon éveilleur.