Seul un souffle harmonieux
Perçait le silence nocturne
De ce désert ténébreux
Aux tempêtes taciturnes
Quelques grains de sable
Se laissèrent emportés
Vers ce lieu agréable
Qu'est l'oasis dépeuplée
Rapide comme l'éclair
La vision s'effaça
Revoilà la guerre
Son sang se glaça
Le souffle devint plaintif
Sitôt la balle le traversa
Le guerrier rentra les griffes
Et l'espoir s'envola
Après tant de maux
Contraint et forcé
Le voilà au repos
Et cela pour l'Eternité.
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Style : Poème | Par Dreams06 | Voir tous ses textes | Visite : 782
Coup de cœur : 11 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : monalisa
MAGNIFIQUE MAJESTUEUX MYSTIQUE CE POÈME DU NÉANT .
pseudo : Isalou
Très sobre et très émouvant, Dream06. Bravo !
pseudo : gigi
trés beau poème dream06, merci.
pseudo : Billie
Je rejoins Isalou sobre et émouvant... Au plaisir
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