Que chatoie ton univers, que brillent tes vers.

Brûle tes sens et confie les au vent,

Il les déposera au pied, de la stèle des libertés.

Pantois et effrayé, tu ne les saisira peut être pas.

Personne ne te l'a appris, elles n'existent que dans le manuel de la vie.

Mais n'ais pas peur d'apprendre et de découvrir, qu il  existe d'autres façons de vivre.

Chaque jours, je suis triste d'observer, tous ces gens qui espèrent de la vie, ce qu'ils n'auront jamais.

Trop attirés par la convoitise de la pie. Ils ignorent la simplicité du moment, désirant toujours plus de l'instant sans jamais prendre le temps.

 Celui qui ne pourra être saisi  par ces âmes consommatrices, d'une vie illusoire, des plaisirs sans saveur.

Une main sur le cœur, bonjour mon ami, désires-tu prendre le repas avec ma famille.

Surpris parce que je ne suis qu'un simple vagabond sur le chemin de la vie, pourquoi partager avec moi le seul repas de ta journée.

Ne sois pas surpris mon ami, mon frère humain, tu as besoin de force pour marcher vers ton destin.

Je compris, que je ne gâcherai pas ma vie à écouter et appliquer ce que dictent les discours étatisés « ENALYSEES » que régurgitent avec certitude  mes bons concitoyens.

Jacques, tu avais raison, le savoir ne trompe pas et empêche le pouvoir des sans vergogne, d'avoir  prise sur toi.

George, tu  n'en pensais pas moins, vous en avez sûrement parler, au rendez-vous des anarchistes, immortalisé par ce noir et blanc, présent  chez tous les amoureux de la liberté.

Ceux qui pensent encore que le plus important dans la vie, c'est un enfant qui rie, un enfant qui pleure d'une enfance sans douleur.

Il ne tient qu'à nous, de concentrer nos efforts pour que résonnent enfin, les rires innocents dans toutes les cases du monde.