Toi, au cœur plein de nos couleurs diffuses,

Fille d’Aphrodite, tisseuse de rimes, dixième Muse,

Prière ! Que mes passions en chagrins, nausées

Ne soient terrassée

Viens à moi, comme lorsque, percevant ma voix,

Tu quittais ta demeure livresque pour moi

Attelée par tes vers sensibles pour toujours

Nommés « maux d’amours »

Arrivée, visage au sourire éternel,

Tu demandas la raison de mon appel

Pourquoi, de nouveau, voir souffrance et rancœur

Au fond de mon cœur.

« Qui de nouveau, dois-je convaincre de tes émois ?

Qui a rompu l’amour, se refuse à toi ?

Bientôt, elle te poursuivra, en désespoir

Même sans le vouloir »

Délivre-moi de la souffrance amoureuse

Fait en sorte que mes passions soient désireuses,

Et sois présente, telle une mère spirituelle,

Sous notre arc-en-ciel.