Mes mains sur ton corps dans l'éclat des cris,
Les poignets acérés par tes griffes qui me saignent,
Enroulent et dénouent les crises qui nous lient,
Dès que nos coeur apeurés, l'un de l'autre s'imprègnent.
J'ai chercher tant de fois au fond de tes yeux,
La réponse à ces doutes, ces tourments indigestes,
Mais de nouveaux nos élans de fureur brisent le feu,
Sale amour au destin d'une complaisance funeste.
Ne sommes nous pas simplement maudits,
De s'aimer toujours, à en rêver la mort,
Malgré ce silence aux ardeurs meurtries,
Agenouillées près de toi, j'oublie tout nos tors.
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Style : Poème | Par cha | Voir tous ses textes | Visite : 560
Coup de cœur : 12 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : obsidienne
des douleurs qui donnent de si beaux écrits, il faudrait presque les cultiver ! Mais bien sûr, c'est ce que vous faites
pseudo : damona morrigan
Magnifique ! CDC
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