J'ai posé mon regard, sur les lignes de son corps,
Dévalé ses sommets, comme l'on colle la feuille d'or.
A son chevet si longtemps posée, songeuse de sa voix,
J'attends patiente de trouver, celui qui foule mon émoi.
Je pourrais lui conter des sonnets aux sons intarissables,
Des mots doux aux effets couronnés de pierres incomparables,
Mais tout ceci serait bien faible pour son majestueux piédestal,
Dont le socle ornementé flatte la somptueuse rareté du Graal.
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Style : Poème | Par cha | Voir tous ses textes | Visite : 587
Coup de cœur : 13 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : lutece
Que je les aime ces pensée si douces et si belles! CDC
pseudo : damona morrigan
Magnifique ! J'adore tes mots et leur sonorité. CDC
pseudo : obsidienne
belles stances, merci
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