C'est d'un pas lourd que j'entrais dans le bureau du commissaire, il était assis la a sont bureaux et avait les trait tendut, ses mains était jointe sur sont bureaux et ses lêvres remuait doucement come si il adressait une prière de pardon a la défunte. A mon entrée un rictus étira sa bouche et ses yeux lancait des éclairs :
-Vous voila enfin Welt
-Oui monsieur le comissaire je suis venut selon vos ordres
-Enfin un que vous avez réussit mon jeune amis, on ne peut en dire autant pour la jeune fille
-Je suis désolé monsieur le comissaire je n'ai pas pu,j'ai perdu mes moyens
Le poing du comissaire s'abbatit sur la table :
-Bon sang Welt c'est d'une innocente dont on parle,d'une vie que vous avez prise
-Mais monsieur.........
-Suffit vous avez clairement braqué votre arme sur elle et vous avez tiré
-Monsieur je ne cherchais qu'a avoir un bon angle pour blesser sont ravisseur
-Vous l'avez abbatut froidement je vous rapelle
-Il savait des choses sur nous comme si il lisait dans nos pensée
-Fariboles!!!!! Vous me décevez Welt au lieu d'accepter le fait que vous soyez coupable de cette bavure vous vous mettez a couvert dèrrière des histoire a dormir debout
-Mais monsieur vous pouvez demander a Tic lui aussi était la
-Depuis le premier jour ou vous êtes entré ici je savais que ca allais mal tourner, mais a ce point....
-J'ai fait tout mon possible monsieur,j'ai suivit vos instructions et j'ai essayé de la sauver mais....
-Si vous l'auriez vraiment fait elle serait encore vivante a l'heure qu'il est
-Je sais bien monsieur
-Ce qui me chagrine le plus c'est que vous serez toujours reconnut en tant que policier jusqu'au conseil qui vous démettra de vos fonctions,en attendant je peut toujours vous coller chez vous jusqu'a cette date.
-Je ne crois pas cela nécessaire Monsieur vous pouvez m'affecter au carrefour de la 36ème vous savez? Celle avec les bouchons.
-Trés drôle mais je pense qu'un individus de votre genre n'a pas sa place ici,j'aurais souhaité que vous échangiez votre place avec celle de la jeune fille. En attendant je ne veut plus vous voir et je me chargerais personellement de vous au conseil, je ferais en sorte que vous soyez viré et que l'on ne vous reprennent plus dans la fonction publique,maintenant sortez.
Des menaces toujours des menaces ce commissaire,enfin au point ou j'en étais je n'avais plus aucune raisons de m'en faire,j'étais foutut.C'est tête basse et d'un pas lourd que je sortais du bureaux du comissaire et du commissariat le temps était assez gris ou bien était ce le fruit de mon imaginations? Ma voiture était garé a deux rue plus loin je me ms donc en marche jusqu'a elle. Je ne sentit pas que j'allais pas bien le paysage devenais de plus en plus gris autour de moi et les personne semblait marcher trop doucement a mon gout je vis une dame mettre le collier a sont chien au ralentit.Je regardais ma mains elle devins pâle puis repris sa couleur habituelle, mes yeux avais du mal a analyser ce qui se passait autour de moi. Je me sentait mal je me penchais et vomit du sang, quelqu'un vint vers moi je ne sais pas qui c'était tout était trop noir.Sans le savoir j'étais en train de sombrer.
Fin de la Part II.
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Style : Poème | Par dorianmiles | Voir tous ses textes | Visite : 415
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