S'il vous plaît, arrêter
S'il vous plaît, c'est là où vous vivez
Peut être, dans cent ans, on sera mort
Mais c'est nos enfants enfants qui éspère encore
Un jour je me suis allongée sur le sable fin
La tête dans les nuages, j'éspèrais sans fin
Or ce sable me reveille ausitôt
Lorsque j'avais la tête sûr un lit de megots
C'est notre planète, protégons là
Juste un geste, c'est deja ça
Dans cent ans, on aura arrêter de vivre
Mais c'est égoïste d'empecher les autres de survivre
La vague noire emprisonnant la mouette
Et les hommes se disant "Nous avons été epargnés, chouette"
Mais, vous reflechissez à ce pauvre oiseau
Avant d'être là il volait, et ce qu'il etait beau
Un jour, en plongée
Je ne me sentais pas consernée
Or, j'ai vu, au milieu des sacs plastiques
Un banc de poisson enfermés dans ces choses sadiques
Je me suis dis "Ces animaux, pourquoi ?"
Pourquoi, je ne comprends toujours pas
Ce que cette pauvre "planète bleue"
Nous a fait pour qu'on la delaisse dans son sort honteux
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par belle-delaire | Voir tous ses textes | Visite : 1228
Coup de cœur : 15 / Technique : 13
Commentaires :
pseudo : X5babou
beau cri écologiste
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