Or, ne voyant ici, que chevaliers, déesses,
Et de très gentes dames, nimbées de leurs prouesses,
Moi qui ne suis qu'un gueux mécréant, au pas lourd,
J'ai fini par renier Cupidon et l'amour.
Cupidon a pourtant, souvent , par cette flèche,
Qu'il lance, à tout moment, son caprice montré.
Or, sans savoir pourquoi, ce poème vous fais,
A vous, qui de ce lieu, seule, êtes la déesse.
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Style : Poème | Par michelconrad | Voir tous ses textes | Visite : 775
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