Il ne me reste pas grand chose que ses deux mots, sur se papier. Et cette douleur qui ne me lache pas. Abcerbe amour. Jolie ramassis de conneries. L'enfer m'a envahit. " En ses jours étranges... ". Il n'y a plus rien à faire, parce qu'aujourd'hui je compte en année, et tu me manques, manques, manques, manques, encore et encore. J'ai perdu tout espoir de te revoir. Je n'ai pas perdu que l'espoir d'ailleur, j'ai tout perdu. Sauf peut-être le souvenir du gout que tu as. Ca fascine les autres de voir à quel point je peux t'aimer. Moi ça me fait du mal, encore du mal, toujours du mal, sans cesse du mal. C'est trop violent. Je me prends des coups, à chaque seconde. Et je crie ton nom. Il ne me reste que ça. Ma voix va se perdre aussi, un jour. Peut-être même ma plume, qui sait. De toute façon je suis déjà folle. Et tout ça, n'est que trop reel. Alors, je fais en sorte que ça ne veuille rien dire.
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Style : autre | Par sara-weint | Voir tous ses textes | Visite : 544
Coup de cœur : 14 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : nage
tien il y avais longtemps que je ne t'avais pas lu heureuse de le faire.
pseudo : Karoloth
Ah, enfin un peu de fraîcheur. Ca fait du bien de lire un joli texte tout simple qui parle si bien de l'amour et de son manque. Merci. CDC
pseudo : sara-weint
Oui, en effet nage. Karoloth, merci !
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