-Je ne sais pas pourquoi, mais tout à l'heure, j'ai pensé à toi.
- Quatre-vingt ans ,tu allais avoir le mois prochain.
-La vie ou la mort ou Dieu ou que sais-je encore en a décidé autrement, un certain dimanche, sur une route de campagne.
- Ce n'était pas un accident; non ! Ton cœur, ton pauvre cœur fatigué d'avoir tant aimé, s'est arrêté.
-On ne te reverra plus avec ton béret sur le côté et ton mégot au coin des lèvres...
-Tu me manques déjà !
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Style : autre | Par le promeneur solitaire | Voir tous ses textes | Visite : 498
Coup de cœur : 11 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : lutece
Malheureusement c'est la vie mais il nous rest les souvenirs!
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