Du premier sourire, à la fin de la dernière espérance De l’illusion du vide de nos vies à l’errance… De la sédentarisation première à l’homme le plus absurde De la haine à l’amour du Tout, de la solitude …….. La plus profonde, je compte les secondes et je suis heureux de conter L’impermanence des choses. Impermanence ne veux pas dire Futilité, absurdité d’un Avenir à réinventer chaque matinée Impermanence, comme diminution de l’égo, ne pas maudire….. Aucune chose, rien pas même le néant, ni même la mort, Impermanence comme cercle, Mandala, Nature, hors , Dehors, par la fenêtre, agitations fiévreuses, courses, course contre la Montre Ce qui démontre encore la Folie en corps et toujours, Etres monstres Ne sachant plus s’aimer, insipidité de la vie lorsque l’on tue l’Amour Et enferme dans les prisons les plus sombres, la liberté, oiseaux Eternels Dans leurs parades nuptiales de printemps, pureté de la Terre et du Ciel L’homme est le cancer de l’Univers maux comme gangrène humaine Toujours Il est le seul animal capable de s’habituer à tout, sera-t-il capable De survivre à sa prison, l’égoïsme, sa bêtise, sa pauvreté de cœur ? Oui l’homme est responsable, responsable de ses actes odieux et Coupable Devant nous même de ne plus aimer, coupable de nos propres malheurs !
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Commentaires :
pseudo : Karoloth
Cancer de l'Univers ? C'est donner bien de l'importance à ce petit mammifère terrestre, quant à Dieu, j'ai perdu son adresse. Mais pour le reste, mis à par la fin donc, j'aime bien ce texte. cdc
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