Mon caban usé se muait en idée virtuel
J’ errais sous la nuit le long des ruelles
Oh mon dieu vers quel chemin je suis voué
Ma dernière écharpe ne couvrait plus mon cou
Petit homme songeur, je détachais à toute allure
Des pensées. Mon refuge était le futur
Mon astre me dictait d’aller n’ importe où
Ce ciel d’automne guidait la pluie sur mon visage
Comme du givre humide, de la fraîcheur à mon front
Où , jouant au milieu des gouttes élastiques
Comme un crépitement, je lançais frénétique
De mes pieds épuisés , un pas vers le pont.
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Style : Poème | Par coulem | Voir tous ses textes | Visite : 431
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