Hayden
Plaisir de te toucher
Liberté d’enfumer ta bouche de narguilé
Hayden
Paradis perdu
Colosse aux mains fragiles
Pudeur enfouie dans ton cœur
Hayden
Musique de cet instrument à trois cordes
Marhaba veut dire bonjour pour toi
Et tu remets du citron sur ton torse
De la menthe poivrée recouvre mes baisers
Tu tires le rideau et rince ton corps
C’est toi qui m’a porté jusqu’au ciel
Le plafond m’a gêné
« Repose-moi s’il te plaît Hayden
je ne veux pas mourir, non, je ne veux pas mourir ! »
Mes cris te font sourire, colosse aux mains fragiles
Sultana Sheitana a imposé
Il s’est plié à toutes ses volontés
Alors elle a embrassé ses cicatrices
Sa grande brûlure a apparu
Elle lui en a parlé
Une blessure de guerre c’est sûr
Il n’a rien répondu
Son odeur de citron, il ne veut pas le savoir non plus
Il ne répond plus
Hayden, paradis d'amour
Sur ta main je dépose mille baisers
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Style : Poème | Par batoule | Voir tous ses textes | Visite : 444
Coup de cœur : 11 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : lutece
Poème tout en douceur, j'aime! CDC
pseudo : Eugénie
C'est beau !
pseudo : malone
oui c'est doux, délicat, juste à ton image il me semble... quand t'es pas une grande mahboula!! sourire... au plaizir demoizelle
pseudo : batoule
merci lutèce et Eugénie, malone c'est bien vrai, je reste une grande mahboula au fond de moi Au plaizir réciproquement
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