Moi d'ébène,
Toi sirène,
Claire,
Tel coquillage en mer,
Au regard abritant les astres,
Faisant de mon cœur un désastre.
Car tes yeux pittoresques,
Me rappellent toutes ces fresques,
Et enluminés arabesques,
Diaboliques et dantesques.
Aphrodite n'a tu guère congé ?
Soit-il ! me mis-je à songer.
Que nos deux corps contrastent,
Et fassent mépris de vœux chastes !
Diantre ! Tes cheveux d'or en hâte,
Se meuvent
En fleuves
Disparates.
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Style : Poème | Par izzo60 | Voir tous ses textes | Visite : 912
Coup de cœur : 11 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : Batoule
Silhouette enchantée Beau calligramme Merci izzo60
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