Quand rien ne resterait de doux,
rose rouge,
tu nous rappelles la douceur,
quand rien ne serait ordonné,
tu rappelles l'ordre des choses,
au milieu des échos du monde,
tu nous enseignes le silence,
quand plus rien n'aurait de fragrance,
tu gardes ton parfum secret,
quand rien ne vaudrait de vivre,
tu enseignes à te contempler.
RSS/Sa/14/8/10/7H
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Style : Poème | Par michelconrad | Voir tous ses textes | Visite : 403
Coup de cœur : 15 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : damona morrigan
Heureuse de vous lire ce matin Monsieur le poète. Tout le bonheur est dans la contemplation de la richesse de votre jardin. Merci à vous.
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