Un goût de fer, du sang qui perle
La blancheur d’un front innocent
La langueur d’un corps qui s’étend
Sa chaleur, l’odeur de cette femme
Son regard à lui, toujours le même
Des yeux qui roulent horizontalement
L’émotion pince ses lèvres vermeilles
Respiration incroyable, sensuelle
Et cette moue d’enfant
Ses pommettes se teintent de rose
Ses yeux sont ronds et brillants
Il se lève lentement, referme la porte et se rend
Elle est en elle, son cœur se noie
Il la touche du regard, la caresse comme ça
Puis il la prend dans ses bras
Toute entière, comme on porte un enfant
Et la main dans la main il l’étale sur les coussins
C’est dans l’ordre des choses
L’amour est souverain
On veut retarder le dénouement
Emprunter des passages différents pour y arriver
Envisager les moyens de se laisser aller à lui
Mais surtout à soi-même
Mais on n’a pas peur
Car c’est lui forever
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Style : Poème | Par batoule | Voir tous ses textes | Visite : 503
Coup de cœur : 10 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : malone
j'aime bien cette scène... ne dis surtout pas "coupez"...
pseudo : batoule
non ça risque pas, de toute façn l'imagination fait le reste ... zut voilà ke cette musique me revient ds la tête, la musique du parrain, impitoyable
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