Je revois Eve Malleret, me faisant découvrir la « Closerie des Lilas », sa joie de me montrer les plaques de cuivre, au coin des tables, où s'asseyaient Lénine et Apollinaire.
Je revois cette lettre d'une inconnue, me proposant de m'interwiever dans une émission, qui me serait consacrée, et qui aurait , pour titre : « Michel Conrad, sol, soleil, solitude »
Je revois le soir tombant sur Charmes : dans l'unique librairie de la ville, je feuillette, par hasard, une « Anthologie des poètes lorrains » et je découvre que l'auteur , Bernard Lorraine, que je ne connais pas, m'y a consacré une page chaleureuse.
--Non, on ne doit pas pécher contre l'espérance.
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Style : Poème | Par michelconrad | Voir tous ses textes | Visite : 640
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Commentaires :
pseudo : damona morrigan
Merci.
pseudo : ifrit
Quelle consécration ! Sûrement l'une des plus grandes joies de l'écrivain, secrètement.
pseudo :
il y a de quoi se sentir ému !
pseudo : damona morrigan
22 août : Et vos poèmes me manquent... Surtout le dimanche matin... J'espère avoir le plaisir de vous lire à la rentrée. D'ici là prenez bien soin de vous et de votre magnifique jardin !
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