comme une fenêtre sur l inconscient, je me promène dans une ville
dont j ai oublié le nom, ainsi donc le meilleure asile
est le coeur d'une mère, cela je l ai compris trop tard
quand j ai fermé tes yeux remplis de larmes et de désespoir.
Dans un océan d'aménité et de fureurs j'ai été élevé
vers les sommets de la volonté du courage et de la foi
aussi lorsque tu es partie vers un ciel trop loin de moi
je t'ai pleuré, et je n'ai jamais pu l'accepté
Cherchant la cause première de tes malheurs, j ai compris
que mes actes, mes pensées te génaient te faisaient un mal immense
qui te torturaient, comme si ce vase félé, à la anse
ne pouvait supporter son propre poids, lourdeurs d'une vie...
Que je me devais de réinventer, mais par mon manque d'imagination
je ne pouvais poursuivre ton chemin pavé de bonnes intentions
comme un paradis qui m était promis et que je me devais de construire
mais voila, quand on se pose trop de questions on en oublie de vivre
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Commentaires :
pseudo : féfée
Un très beau texte, plein de profondeur. CDC
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