J’ai ouvert les vannes de mes inconsolables
Yeux cernés et de mon esprit tourmenté dont
Les eaux troublées ont cédé face à la pression
Cérébrale. Je paierais cher l’irréparable…
J’ai ouvert les vannes de mon irrémédiable
Folie qui détrône la raison en passions
Sotte engeance que j’ai accueillie à foison,
Trompée par leur art. Médication introuvable …
J’ai ouvert les vannes de mon ébène écorce.
L’air brûlant entre en collision avec mon sang
De fer affaibli et de ma peau, dévalant
Les sillons gravés. La stridente douleur, force
M’est d’admettre qu’elle nourrit réflexivité !
J’ai ouvert les vannes de l’imbécillité.
Mignardise
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par Mignardise 974 | Voir tous ses textes | Visite : 430
Coup de cœur : 18 / Technique : 11
Commentaires :
pseudo : Altaïr
Grand CDC à toi :)
pseudo : Mignardise 974
Merci ;)
pseudo : damona morrigan
Mais qui n'en a jamais faite des sottises et TU ES LA BIEN VIVANTE à ouvrir ton coeur d'or ! Je t'aime mon étoile filante !!! DIVIN CDC par une autre imbécile !
pseudo : féfée
Force et fragilité, beaucoup d'humanité dans ce poème. Et parfait techniquement. CDC
pseudo : lutece
oui, big cdc!
Nombre de visites : 68509