Il n'y a pas d'oisiveté pour celui qui écrit : il n'y a que des minutes, fertiles et douces, comme un jardin d'Eden, ou d'autres, stériles et âpres, comme un désert sans fin.
Il n'y a pas de solitude pour celui qui écrit : il n'y a que les fantômes gémissants du passé, ou les rêves exaltés de l'avenir.
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Style : Poème | Par michelconrad | Voir tous ses textes | Visite : 546
Coup de cœur : 16 / Technique : 12
Commentaires :
pseudo : féfée
Comme c'est vrai et bien dit ! CDC
pseudo : Mignardise 974
CDC !!!
pseudo : VIVAL33
Encore une fois: sublime! Bien à vous ;-)
pseudo : Allover
Je partage les avis précédents. cdc
pseudo : damona morrigan
Trop bien dit et très juste, merci CDC
pseudo : ifrit
Une pensée que je mets en favori, tant elle est juste.
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