Tel un grand papillon il erre dans le temps
Au bord de la fenêtre il se pose, étrangement.
Le soleil parti passe son tour à la nuit
Les ombres grandissent, l'homme avance, et sourit
Son souffle grandit et me rend toute chose.
Il m'ouvre alors ses bras, mon coeur pense: va, ose
Troublée,hésitante, je m'avance à mon tour
De ses deux bras musclés mon corps frêle il entoure.
Je plonge dans ses yeux mon regard confiant
Peu à peu je m'endors, son parfum m'enivrant.
Je compris enfin que devant moi se tenait
Non un homme mais un dieu, dénommé Morphée.
Coquelicot
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Style : Poème | Par coquelicot | Voir tous ses textes | Visite : 682
Coup de cœur : 12 / Technique : 7
Commentaires :
pseudo : Allover
Morphée est bel et bien masculin. Et ce texte est bien écrit cdc
pseudo : italogreco
un poème emprunt d'une douce sensualité, je ne savais par contre pas que MOrphée était un homme....alors pourquoi pas... Grand cdc pour
pseudo : coquelicot
merci bien et oui Morphée est bel est bien un "homme", c'est la fatigue qui m'a inspiré.
pseudo : ifrit
Un texte tout en douceur, cela fait du bien de vous lire. Merci pour Morphée !
pseudo : féfée
Ca me rappelle l'histoire d'Eros et Psyché... J'aime beaucoup. CDC
pseudo : nage
CDC...
pseudo : Mignardise 974
j'adhère totalement CDC !
pseudo : coquelicot
merci et il fallait bien rendre hommage à celui qui est censé nous aider à trouver le sommeil.
pseudo : tournesol
Très sublime. j'espere trouvé Morphée ce soir. Je t'aime ne l'oublie pas! Coquelicot, tournesol sera avec toi demain (L)
pseudo : coquelicot
merci pour ce séjour chez toi tournesol, et merci aussi pour ton commentaire, le soleil commencerait-il à se pointer à l'horizon?
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