Un jour j’ai déposé une branche de ronce,
Sur mon lit écorché d’une longue souffrance,
Mon être s’est mué dans un long silence,
Ou la providence me regarda sans insouciance.
Oui, Les blessures je les ai accumulées,
Sur ce lit ou j’ai attendu, pleuré et agonisé…
Mais un jour je me suis enfin décidé,
Je me suis remis à prier et à espérer…..
Alors j’ai été cueillir un bouquet de lilas,
Que j’ai déposé délicatement sur mon matelas.
Je l’ai regardé comme si je regardais cette femme.
Celle qui un jour ne quitterait plus mon âme.
Paisiblement je me suis endormi à ses cotés,
Mon lit de tendresse et d’amour s’est parfumé.
Quelle fut ma surprise en me réveillant,
Une voix mystériese me parla intérieurement …
C’était la voix de ma douce moitié,
Qui de l’au-delà me parvenait,
Celle de la femme que j’ai toujours rêvé,
Celle qui contre son cœur, une rose tenait.
Elle a transformé mon lit en un jardin secret,
Ou chaque jour comme une fleur différente elle apparait,
Pour m’enivrer chaque jour d’un parfum différend,
Faisant à jamais de ce lit, mon jardin de la passion.
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par italogreco | Voir tous ses textes | Visite : 455
Coup de cœur : 13 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : féfée
Magnifique ce poème ! CDC
pseudo : damona morrigan
Bonjour mon beau chevalier, tiens ce texte me rappelle quelque chose ! Oui, j'aime les lilas ! Big CDC for you !
pseudo : Mignardise 974
preux et fidèle à la passion, CDC !!
Nombre de visites : 187047