Le Grand Luminaire d'or et d'argent m'éclaire
Parmi les quelques nuages trop froids : aînés.
Et aussi et surtout légers tout comme l'air.
Je vole, je vole, et ce, sans m'écraser !
Souffles courts et ténébreux des hauteurs du ciel ;
Conduisez-moi au centre, au paroxysme enfui
De mon espoir, de mon bonheur et de mon miel
Butiné avec amour par les ouvrières de mon ennui.
Je veux être là-haut avec elle ; être heureux.
Mon idylle m'attend, là au loin, j'en suis sûr !
Donc, Alizé frêle, conduis-moi : tu le peux.
Berce mes ailes majestueuses et si pures,
Par delà ces fumées trop froides et translucides :
Apporte-moi, et mon esprit sera vide...
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Style : Poème | Par altair | Voir tous ses textes | Visite : 393
Coup de cœur : 10 / Technique : 13
Commentaires :
pseudo : lutece
On a envie de s'élever avec toi dans les airs. Merci pour ce beau partage! CDC
pseudo : damona morrigan
Magnifique, j'adore ! CDC
pseudo : Altaïr
Merci, rien ne vous empèche de vous envoler avec moi :P
pseudo : Mignardise 974
sublime CDC !
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