Quand amèrement je pleure au-dessus de l'eau
Car je t'ai perdu, délaisser, abandonner
Et navré, ton départ je m'en vais déplorer
Ô que notre amour était gracieux et beau
Lorsque tous les deux, nous partions là-haut
Pour, dans la grande mare, aller se détremper
Et s'éclabousser de grosses gouttes bleutées
Ahhh, que nous étions doux, tel de beaux agneaux
Mais cette prospérité, il l'a subverti
Cet homme à la rose délavée, flétrie
Qui nous as séparer, distancer, éloigner
Mais il ne va pas gagner, il ne le peut pas
Nous allons nous rapprocher, nous avoisiner
L'amour sur le concours toujours triomphera
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Style : Poème | Par cedlon | Voir tous ses textes | Visite : 261
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