et de ce doux revers que ton absence indigne fait de mon choix si fier un résultat assassine encore combien de temps, de ces secondes taquines devrais - je en endurer pour qu' enfin elles déclinent je voulais le meilleur de ce départ intime un hôte du bonheur à ta croupe féline faut-il que mes envies désorientent mes lignes Et là je perds J' ai tant voulu Hélas je perds Ou quand les soleils retiennent les gens du nord je voulais t' emmener où la chaleur câline cristallise le sel sur ton corps, j' imagine, mais j' ai beau vouloir peindre, le tableau s' abîme depuis 4 ans je meurs dans ce décor infirme mon rôle de pygmalion ne t' a séduit, gamine pauvre ingénue savante d' une sagesse bénine j' aurai tellement voulu t' extirper de tes ruines Et je te perds J' ai tant voulu Hélas je perds Ou quand les soleils retiennent les gens du nord
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Style : Poème | Par james brauer | Voir tous ses textes | Visite : 395
Coup de cœur : 9 / Technique : 5
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