des lunettes teinté pour masqué son regard,une fumée de cigarette pour se donner de l'espoir
plongé dans tes pensée pour partir travailler,du courage oui je sais que tu n'en a jamais manqué
on parlait religion et on se posait des questions,on discutait aussi sur l'avenir de la nation
assis devant ta toile les couleurs se mélangeaient,les planches de ton chalet resonnent claude monet
puis la maladie est venue et la souffrance est apparru,quelque mois auront suffit a te clouer dans un lit
les frissons de la mort on parcouru ton corp,en cette nuit particuliere ou j'allais perdre mon pere
neuf heure du matin et je n'y comprend plus rien,ton regard s'est figé ton souffle s'est arrété,la leucémie ta emporté
ta voix ta présence,la couleur de tes yeux,peut etre mentend tu par dela les cieux
je voulais parler de cette homme mort juste avant l'hiver
je voulais parlais de lionel
cette homme étais mon pére
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Style : Poème | Par vinscott | Voir tous ses textes | Visite : 342
Coup de cœur : 7 / Technique : 5
Commentaires :
pseudo : arshesti
J'en suis émue jusqu'au larmes, il y a une telle sincérité et de souvenirs emportés... je suis désolée.
pseudo : vinscott
j'ai mis longtemps avant de pouvoir écrire se poéme,et avant de le montrer. merci de ton commentaire
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