pseudo : ifrit

Une belle pensée, une belle réflexion. Philippe Delerm tenait à peu près le même discours, mais dans le sens opposé. Il disait qu'on écrivait un manque, et que sans ce manque, on ne vivait plus vraiment. Je le rejoins dans cette idée, car sans le manque, la vie serait triste je pense, il manquerait un but, une envie d'aller plus loin ! Ceci étant dit, je suis très passionnel, donc toujours en manque, et j'aime cela !

pseudo : italogreco

comment rejoindre le bonheur si un être te manque dans ta vie, comment se trouver dans une bonne condition mentale si ton cerveau s'écrase sous le poid des regrets et de pensée négative...?? je prends des médicaments contre la dépression pour trouver un bonheur artificiel et non comme je le voudrai...jâi essayé de satisfaire mes passions...la réussite n'était pas au rendez vous même si j y ai mis toute mon âme et mon coeur...attedns ta réponse W....merci pour ce partage qui vas faire discuter à mon avis

pseudo : lutece

Je dirais tout simplement que joies et souffrances font partie de nous. Les souffrances que l'on traverse nous permettent d'apprécier les joies qui suivent et, sans doute de nous armer face aux douleurs suivantes. La vie m'a infligée beaucoup de souffrances (autant physiques que morales) mais, elle m'a quelque part rendue plus attentive aux autres et je puise mon énergie dans des joies simples. Un sourire, un mot gentil, une main tendue sont des petits bonheurs que beaucoup ne savent malheureusement pas apprécier parce que trop centrés sur eux mêmes! CDC pour ton texte qui pousse à la reflexion

pseudo : féfée

Je suis plutôt d'accord avec Gandhi, et je l'expliquerais par le fait que l'homme s'adapte, s'habitue, et est donc en général sans cesse poussé à rechercher d'autres sources de joie pour ranimer la flamme de ses désirs. Mais pour ma part, et par expérience personnelle, je dirais que moins on en a matériellement, moins on en fait, et plus on est facile à contenter, car on trouve le bonheur dans l'essentiel. Et surtout on cultive sa richesse intérieure. Merci pour cette ouverture au dialogue, et CDC !

pseudo : Iloa

Ce que nous devons contrôler c'est la hauteur de nos désirs. Perso, je ne me crée que des rêves à ma portée...Pour cela, nous devons utiliser notre raison pour apaiser notre cœur.La plénitude se trouve dans le juste équilibre entre le cœur et la raison. Mais voilà, nous sommes humains et uniques. Ce qui engendre...chacun trouve le bonheur où il peut...avec ce qu'il est. Merci W pour cet échange. Bises.

pseudo : w

L'être humain jouit du prestige de la dualité dans tous les domaines. Il en va ainsi du rapport étroit et étrange entre le besoin et le désir. Le besoin se satisfait et cesse ; l'envie, quant à elle, ne s'assouvit jamais pleinement et croit toujours. A force de vouloir courir après le désir, on finit par rattaper son ombre... Le bonheur, finalement, doit probablement se trouver dans la simplicité du coeur ; pourtant la raison doit continuer à exister pour que nous ne nous fassions pas manipuler par nos sentiments... Encore une dualité ! Cela ne finira jamais...

pseudo : damona morrigan

Des réflexions comme je les aime, merci w. J'ai un grand respect pour l'homme, mais je ne suis pas de celle qui suivent sa pensée. Même si je suis d'accord avec lui, j'ai toujours fait le contraire, j'ai besoin de me sentir vivre et bien sûr par la logique même me suis toujours pris de sacré coup... Quand j'aime, c'est avec passion ou pas du tout. CDC à toi mon petit scribe adoré !

pseudo : damona morrigan

P.S. tu n'es pas allé sur le texte de ma petite rosa (églantine) pour toi, c'est pas gentil de ta part...

pseudo : w

Mille excuses damona, je n'avais pas vu qu'eglantine m'avait écrit un texte. J'ai laissé un commentaire comme il se doit et suis très touché. Quant à la citation, elle mérite la rflexion même si l'on est pas forcéeément d'accord sur tout ce qui y est dit, comme c'est mon cas. Je t'embrasse gentille damona morrigan.