Ces nuits où tu n’es plus là sont devenues dérisoires,
Mes yeux me font mal en te pleurant chaque soir,
Si tu savais à quel point tu me manquais
Peut être reviendrais tu un jour me consoler…
Quand il brillaient au-dessus de nous ce n’était pas pareil, Mais maintenant je ne suis plus qu’entouré d’une myriade de nuages, Qui forment dans le ciel, les doux traits de ton visage…. Je sentais les ailes d’un ange battre entre tes boucles dorés, Il était perdu, inquiet et en même temps émerveillé, Par la tendresse et la chaleur qui du fond de toi émanait. Construire un château aussi haut que l’Himalaya, regarder depuis son sommet, les merveilles du monde entier, Déterrer de la névé, les alliances d’un amour d’une rare pureté.
Aujourd’hui je me cache des rayons du soleil,
Quand entre tes cheveux, mes doigts s y glissaient.
Je voulais abattre mes dernières cartes pour toi,
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Style : Poème | Par italogreco | Voir tous ses textes | Visite : 290
Coup de cœur : 12 / Technique : 12
Commentaires :
pseudo : féfée
Un amour décrit avec beaucoup de regret. CDC
pseudo : lutece
...Elle reviendra te consoler. On ne peut rester sourd à ton cri du coeur! CDC
pseudo : w
Des mots d'amour dans le silence tel un fantôme errant dans le dédale d'un chateau de souvenirs. Qu'il est dur de survivre à un amour passé, surtout il rejaillit dans notre mémoire à tout instant. Un texte très beau. Bravo.
pseudo : damona morrigan
Suis avec toi mon petit phénix, tu l'auras, ton ange ! Enorme CDC for you et merci
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