Le vide m'attire, je regarde par la fenêtre Le temps file, les feuilles tombent Le monde est cruel, vous ne savez à quel point Il n'y a pas de place pour tous les êtres Et après ? Je ne peux que déraisonner sur n'importe quel sujet. Videz-vous de tout pendant que je ne me vide rien Qu'est-ce que cela veut dire ? Que sais-je ? J'erre mais je sais où je vais Le silence m'accompagne Enfin, on ne peut jamais savoir. Rentrez-moi dedans, écrasez-moi, accusez-moi de tout ! Peu importe. J'évolues dans un monde aussi pourri que les poumons d'un homme qui fume, Elle est belle n'est-ce pas, ma vision des choses ? Je repousse les limites, je vous choque ? J'envoies valser les principes pour une fois La petite fille innocente d'un bon roman d'apprentissage qui quitte l'enfance pour le monde obscur des adultes. Oh ! On dirait que je fais mon autoportrait en décrivant cela... Je suis folle, folle de lui, surtout Moquez-vous de ce que je dis Après tout, je n'écris pas pour vous mais plutôt pour moi. Ma tête va exploser, et alors ? Le temps nous glisse entre les doigts pareil aux grains de sable Je passe du coq à l'âne sans savoir où toutes ces conneries me mèneront. Ne m'écoutez pas, ne m'écoutez plus. Je ne cesse de divaguer.
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Style : Pensée | Par Mancini Armelle | Voir tous ses textes | Visite : 346
Coup de cœur : 8 / Technique : 11
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pseudo : Mignardise 974
La vie divague comme les mots et les êtres ...
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