Mémoire, sublime mais douloureuse mémoire
Je marche sur tes tapis où des verres brisés sont clairsemés et où mes pieds viennent saigner.
Ton venin se propage dans ma tête et couvre mes yeux d'un voile noir et opaque
Je retourne chez toi comme la lune retourne à son trône chaque nuits.
Fantôme d'abord blanc, tu me ramènes au pays du coeur sempiternellement léger de la douce enfance
Puis fantôme vêtu de noir, tes sombres tableaux d'autrefois reviennent me transporter dans ces nuits ténébreuses...
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Style : Poème | Par Mirtho | Voir tous ses textes | Visite : 212
Coup de cœur : 8 / Technique : 7
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