Jahid et Assia,
Tsalel et Yémima,
Quatre personnes vivant de leurs cotés,
De ce mur qui ne cesse de saigner.
L’homme a-t-il si peut de mémoire
Qu’il en oubli son histoire ?
Ce peuple qui se présente aujourd’hui comme l’agresseur
Ne se souvient t’il pas de sa terreur
Et de toute cette peur
Face aux atrocités du Führer ?
La connerie de l’homme a-t-elle si peut de limites
Qu’un peuple encore meurtrit
Puisse couper les vivres et voler les biens
De ses voisins ?
La détresse étant rendue à un point de non retour
Des hommes et des femmes se font péter tour à tour
Ces attaques déclenchant obligatoirement des réponses
Il ne reste de la paix, plus une once.
On peut se rappeler de notre faute à l’origine
Même si tous ces pays, aujourd’hui se débinent…
Ironie du sort
Ou bêtise humaine,
Nous pleurons encore leurs morts
Qu’ils répandent déjà la haine.
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Style : Poème | Par youp | Voir tous ses textes | Visite : 547
Coup de cœur : 11 / Technique : 11
Commentaires :
pseudo : Iloa
J'aime bien tes coups de gueule. Tu as un cœur d'OR et la lecture de tes textes m'offre toujours un sourire. Merci à toi youp.
pseudo : lutece
Texte profond et criant de vérité! CDC
pseudo : Allover
Cette situation me fait penser aux enfants victimes de violences qui deviennent parents violents.Mais rien n'excuse la violence. cdc
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