Muse éphémère, triste compromis dans la recherche du bonheur
A toi, belle étrangère de la nuit dernièreDe tes baisés je bois le Léthé jusqu'à la lieLa courbe de tes fesses comme une image idylliquele Niaguara enviait ta chute de reins De tes baisés je bois le Léthé jusqu'à la lieTes yeux en amande comme une vraie tigresseTu étais mon félin, je n'étais maître de rienLa courbe de tes fesses comme une image idyllique Tes yeux en amande comme un vraie tigresse,Tu te lovais dans mes bras, et je sentaisLa douceur de tes cheveux brunsL'agréable mélange des sens m'enivrait Tu te lovais dans mes bras, et je sentaistes seins comme deux fruits adoréston odeur muscé, le contour de ta boucheLa douceur de tes cheveux bruns, Je te dédie ce poème à toi,belle étrangèreMa compagne d'une nuit, la muse de mon litTu m'est inconnue et jamais je ne te reverrais,C'est la magie d'une rencontre éphémère
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Style : Poème | Par sickboy | Voir tous ses textes | Visite : 664
Coup de cœur : 10
/ Technique : 11
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