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tourmentes abyssales par sickboy

tourmentes abyssales

Pourquoi j'écris? J'essaye surement d'exprimer et de mettre en ordre l'amas de pensées emmêlées et désordonnées qui gisent a la surface de mon cerveau sans pour autant aller très profond. C'est justement ce manque de clairvoyance qui m'entraine à écrire et répondre à l'éternel question que chaque Homme doit ou devrait se poser, « qui suis-je? ». Les gens semblent capablent ou pensent croire connaître une personne et pensent aussi qu'il est plus facile de connaître un ami que sois même. Pour faire simple je vais romancer l'histoire d'un adolescent,et prendre possession de ses pensées, me les approprier et les écrires car c'est bien la seule chose que je connaisse n'ayant toujours pas soufflé mes 17 bougies du traditionnel petit gâteau d'anniversaire en famille.

 

Parlons de cette famille, une famille recomposée mais tout de même petite. Une famille où le paternel, plus vieux de 12 ans que ma mère, sort d'un divorce mystérieux avec une femme qu'il me semble n'avoir jamais rencontré. Il pourrait paraître étonnant que je ne sache rien de l'ancienne vie de mon père, ni de mes deux frères, qui, biologiquement sont mes demi-frères. Je ne connais pas les circonstances du divorce, seulement des allusions à l'enfance difficile de mes frères mis en comparaison avec la mienne lorsque je me plains d'eux. Moi, le petit dernier, le chouchou, celui qui débute la vie facilement, moi qui ai mes deux parents mariés, financièrement stables et aisés. Mes parents m'aiment, c'est une certitude, cependant, il y a une chose en eux, une chose que je déteste et à quoi je ne veux pas ressembler. Je pense qu'Oscar Wild avait raison sur ce point, du moins, mon point « Je ne puis m'empêcher de détester ma famille. Cela vient je crois de ce que l'on ne peut supporter chez les autres ses propres défauts » . Je me demande si je ferais lire à mes parents ces pages, quelle serait leur réaction, penseraient ils à une simple crise d'adolescence en manque d'indépendance,ou que leur fils bien aimé ne les aiment tout simplement pas, se poseraient ils des questions sur la façon dont ils m'ont éduqués? A ces interrogations, je répond, est-ce normale pour un garçon de n'avoir jamais fait de scène a ses parents, de n'avoir jamais rien revendiqué, rien quémandé, ou bien encore, est-ce normale que ce garçon veuille partir de chez lui a ses 8 ans pour aller a l'internat, et qui dès 14 ans rêvait déjà d'émancipation? Mes parents ont réussi leur coup, ils m'avaient persuadé que j'étais un enfant sage, intelligent et discipliné, tout comme on peut décréter qu'un enfant est plus courageux qu'un autre, sans raison, dans le seul but qu'il le croit et donc le soit réellement. Chers parents, je vous aime,et je m'en veux lorsque je vous fais mal, seulement, je regrette une chose, c'est que vous avez pensez pouvoir acheter ma solitude par de l'argent de poche, votre gentillesse, votre amour et en m'accompagnant partout où je vais. Désolé, mais j'ai toujours été seul, sans frère de mon âge avec qui jouer, sans voisin de mon âge non plus, vous n'aviez pas non plus d'amis qui aient d'enfants de mon âge, réfléchissez, et pensez-qui suis je? Vous ne connaissez de moi, que les choses dont j'ai bien voulu partager avec vous. Savez vous que je me drogue? que je fume?que je bois beaucoup?Que je sors en boite?Que j'ai déjà dormis dans la rue?Que j'ai déjà eu des liaisons non protégées pour le seul goût du plaisir mélanger avec un certain goût du risque?Non, vous étiez trop occupés à regarder les voisins, les critiquer, et faire votre commérage sur la mauvaise éducation d'un tel, fils de l'autre...Non, vous ne savez rien et tant mieux car vous ne comprendriez pas, personne ne peut me comprendre car je suis un mélange de personnalités fictive ou non, comme je ne trouvais pas en vous un idole il a fallu que je m'imprègne de multiples personnes. Depuis le jour où j'ai commencé à vous mentir régulièrement, j'étais désabusé, j'avais votre confiance, et quoique je fasse vous m'aimeriez toujours. Je suis le dernier, le dernier à vivre en France, le seul espoir d'en avoir un au pays, alors il faut pas se fâcher avec lui, on lui donne ce qu'il veut pourvus qu'il reste. Je suis devenu cynique, ironique et pour finir un gros con, ce que je suis toujours.

Ainsi, je suis comme ça, un heureux déprimé, un blasé qui n'a rien vu, qui marche les yeux ouverts sans y voir autre chose que ma misérable haine envers moi qu'il me semble trimballer depuis que j'ai ouvert les yeux.

 

Il semble que cet adolescent soit ambigüe dans sa façon de se comporter avec les gens. On peut expliquer ce phénomène par la désertion de ses frères du cocon familial, ses frères qui étaient beaucoup pour lui, qui étaient comme des guides de la vie, une carte de la route qui s'applique a nous aider à éviter les obstacles, seulement, il n'avait pas prévus qu'ils partent si tôt pour le laisser seul avec ses parents, peu à peu la carte est devenue obsolète, elle ne couvrait pas la distance dans l'espace ni dans le temps. Ses Frères sont partis vadrouillés dans le monde, il ne les voyaient qu'un fois par an pendant une semaine, changés et méconnaissables. C 'est alors qu'il semble avoir compris qu'il ne pourrait compter sur personne pour le diriger dans sa vie, il se détache de ses amis, de sa famille, il ne voit que les parents et la grand mère. Il devient plus grand, et , vers 16 ans, fornique avec toutes les filles qui veulent bien de lui et qu'il a tous aimé un court instant puis rejetées. Il ne s'attache pas non plus à ses amis, il en change souvent , garde certaines attaches mais sans plus, aucun lien profond. Il voit une vision de sa vie décadente et donc par association d'idées, cool et jeune. Il se veut différent .

Je veux être différent et ne pas rentrer dans le moule. Coucher avec la même femme jusqu'à la fin de ses jours, avoir un petit pavillon dans une cité dortoir, une petite famille bien comme il faut, un job merdique et le week-end pour décompresser avec le voisin devant des bonnes grillades ainsi qu'un bon programme télé du style plus belle la vie, c 'est surement par esprit de contradiction et que mes poils de barbes commencent a pousser que je tiens ce genre de propos. Mais j'espère réellement que je ne deviendrais pas ce vieux con, parce que je suis bien parti pour l'instant. D'un côté je me dis, une petite femme sur qui on peut compter, une belle histoire d'amour et des roses pour enfants. Pourtant, mon côté trash et rock resurgît, me fait basculé du côté obscur. Je me dis, deviens riche et reste jeune. Reste au rock, reste au splif et au lsd, tâte la coke, baise comme un lion et fais la fête. C'est bien pour ça qu'on devient médecin non?J'ai du sauter l'étape de la maturité, je veux être indépendant, alors que je suis pas capable de payer mes vêtements, je veux être médecin alors que je suis tout sauf philanthrope, je suis un romantique alors que je n'ai jamais eu de vrai copine et pour finir je veux rester en bonne santé alors que je déconne . J'aime jouer, j'aime m'amuser, je ne suis plus ce petit gros du collège, je ne suis plus ce petit coincé, mais je suis toujours cet espèce de salaud, et j'aime à le penser . Je dois surement dire merci d'avoir changé,ou plutôt, merci au changement, l'homme est comme cette espèce de pâte à modeler que tout le monde à déjà eu dans son enfance. On peut la détruire, la remodeler, la façonner la travailler la mélanger au d'autre pâtes a modeler et à la fin, après de multiples changements, elle devient méconnaissable. Quoi qu'il en soit, mon côté sombre me passe en boucle une chanson culte de pink floyd « quoi que tu fasses, ne sois pas une brique dans le mur ».

 

Après mures réflexion,il déduit qu'on est toujours le con de quelqu'un comme on est l'amour ou l'ami d'un autre. Quoi que l'on fasse, on est catalogué, et lui même se catalogue, c'est bien une des multiples raisons pour lesquelles il se déteste. Si il adopte la configuration du père de famille irréprochable, il sera catalogué comme le mari gentil, qui aime sa femme et qui s'occupe de ses enfants.... Si il reste tel quel, et bien il sera catalogué comme un immature, un grand gamins, un mec qui n'a pas su grandir, et qui fuit la réalité.

 

Mais pourquoi j'écris à la fin, j'étais censé écrire pour une meilleur connaissance de moi, et voilà que mon écriture ne mène nulle part. Il semblerait que le côté tragique de ma vie soit en fait l'ennui;comme Baudelaire, qui fuyait l'ennui, je pense que l'ennui est la plaie de l'humanité, du moins, la plaie des gens sans problème et qui sombrent dans l'ennui. J'écris par ennui, pour passer le temps, et si cette occupation peut m'aider a mieux me connaître, et bien tant mieux.

 

Apparemment ces textes sont des essais, il médite sur des interrogations, ne trouve pas de sujet très profond, ou du moins est incapable de les attaquer en profondeur, aller jusqu'au fond du raisonnement et jouir de la pénétration de la pensée.

Combien? combien de femmes doit on fréquenter, pour pouvoir penser que l'on peut se caser? Comment peut on s'imaginer de toucher le même clitoris jusqu'à la fin, de toucher les mêmes seins quand bien mêmes il resteraient fermes, bombées et parfaitement symétrique, ni trop gros, ni trop petit? La diversité lutte contre l'ennui, si des mariages échoues, c'est bien à cause du cul.

A vrai dire, je distingue 2 relations, les relations amoureuses ou les deux belligérants partagent leur vie ou du moins leurs sentiments et par la même occasion, en profitent pour baiser . L'autre catégorie,est la baise pour un soir et arrive à départager l'amour de la relation sexuel, d'ailleurs, n' est-ce pas ce cher rocco siffredi qui a dit un jour, l'amour et le sexe sont deux choses différentes.

 

Dimanche 13 juin 2010

 

La vérité, c 'est que je suis un espèce de salaud d'adolescent ingrat, je méprise mes parents alors qu'eux donnent tout ce qu'ils ont pour moi. Pourtant cette phrase et mes remords ne suffisent pas à me convaincre que je devrais pas leur en vouloir. Je vis dans l'espoir de vivre une vie extraordinaire, atypique . En réalité, elle est chiante à mourir, je m'ennuie, je suis blasé et dépité.

 

 

 

 

Une réflexion ne prend de sens seulement lorsqu'elle emmane de nous, ce n'est pas en s'inspirant des pensées des autres que l'on progresse. Penser par nous même, c 'est la clé de l'indépendance. Et c'est malheureusement à l'arrivée de mes 17 ans que je comprend ça. Je tourne cours, mes réflexions ne sont jamais profondes, j'ai toujours tourné cour, je n'ai aucun talent particulier, je me complais et excelle juste dans l'art d'être un salaud hypocrite et égoïste. En réalité je suis un grand enfant, qui, lorsqu'il n'a pas ce qu'il veut, s'énerve et se plaint, je me satisfait lorsque je l'ai et puis une fois l'envie rassasiée, je m'ennuie et je pars à la conquête d'une autre occupation. Heureusement, personne ne sait lire dans les pensées, je serais à court sur rejeté de toute société, refoulé dans un caniveau seul avec mon ennuis. Ce que j'écris est merdique, ça n'avance à rien, encore une envie finie. En fin de compte, moi qui me voulais unique, je suis en réalité la cible favorite de la mondialisation, et de la société de consommation. Je change sans cesse d'occupation, je me croyais un produit dérivé, je suis en faite un monsieur tout le monde, un débile qui passe son temps sur l'ordinateur au lieu de travailler ou de profiter. Je suis un stéréotype de la société, la caricature de l'ado déboussolé qui ne sait pas ce qu'il fait, et fait par ennuie; je crois être à la recherche d'expériences, je suis en fait à la recherche dérivatif à mon ennuie. Le méphedrone est à porté de main, il vient du Congo, acheté par internet, c 'est légal pour l'instant en France pays de la liberté d'expression, légal mais cher. C'est moins puissant que l'extasy et les amphets mais ça déboite pas mal, merci les médias de m'avoir fait connaître ce produit . Pour rester old school il y a toujours la marie jeanne, celle qui nous fait faire des bons, une amie de tous les jours, elle s'impose dans nos poches comme un gamin achète des sucettes. On peut se demander pourquoi j'écris tout ça, à vrai dire je n'en ai aucune idée, de toute façon, je dis n'importe quoi, c 'est bien connu. Je fais parti de cette jeunesse de dépraver qui boivent à 10heures du matin, tout ce qu'elle trouve d'alcooliser et qui se fument des gros spliffs devant la grille du lycée. Pourquoi? De façon a être bien pendant les cours, je veux dire, de pas voir passer le temps et de s'amuser dans son délire tranquillement à sa table. Je suis surement perdu, mais je ne trouve pas de voie de sortie. Routine quand tu nous prend, on veut mettre fin à nos jours. Je ne veux pas d'aide, je ne veux pas arrêter, c'est seulement comme ça que j'ai la sensation de vivre ma vie, et de profiter pleinement, d'être un vrai carpe diem. De toute façon je perd mon temps, j'écris mal, et avec ce que je viens décrire, je ne ferais jamais lire ça à mes parents.

 

 

Je crois que je sais ce que veut dire déraper, je tombe, je sombre dans le gâchis. Aucune possibilité de remonter ne s'offre à moi, la vie n'est pas un jeux, ce n'est pas comme atteindre un niveau trop élever, échouer et recommencer inlassablement. J'ai atteint le stade où je suis seul, je suis dans un mauvais bad trip ou le temps n'y fera rien, je me perd, je ne sais pas où aller, ni quoi faire, plus personne ne se soucis de moi, je ne sais pas à qui m'adresser, personne n'est là, je suis dans un néant sans issue, je m'enfonce dans un gouffre, mon coeur bas a rompre mon corps, je sens mon corps céder, il devient fébrile, comme si j'étais trop lourd pour qu'il puisse me supporter, j'ai abusé de la vie, que vais-je devenir, je suis un raté, j'ai tout raté, j'avais tout pour réussir, une famille sur qui je peux compter, du moins qui m'aime, une bonne école, des amis. Maintenant je me retrouve seul, je ne sais pas quoi faire, je suis attiré par une force qui me fait sombrer. Je ne peux pas m'empêcher de tout foiré, je déconne sans cesse, comme des bugs dans ma vie, des bugs que je ne peux pas réparer. Lorsque je cris à l'aide, personne ne viens, je gis dans mon inconscience. Je foire tout, jusqu'à la je pouvais encore faire comme si rien ne s'était passer, mais là c 'est trop dur, c'est trop dur d'être seul, sans personne, mes pseudos amis me laissent choir, il me semble maintenant reconnaître la vrai valeur de l'amitié. Jusqu'à maintenant je croyais être aimé mais je me trompais bien, j'étais seulement apprécié comme le mec qui foire tout, le branleur, le toxico qui se fou de tout, mais ça n'allait pas plus loin, on m'invitait pour mettre de l'ambiance, seulement je n'avais aucun amis, je n'ai toujours pas d'amis, personne qui me ressemble, et je ne peux m'en prendre qu'à moi même, je n'ai jamais été franc, ni vrai. J'ai toujours joué un rôle et m'adaptait en fonction de la personne que j'avais en face de moi. Je sais maintenant que tout est faux, mon monde est faux, ma seule envie est de boire jusqu'au coma, les grecs de l'antiquité parlaient du Néphentès comme un fleuve qui faisait sombrer les morts dans l'oubli, pour ma part, mon Néphentès est ma bouteille de whisky. Je ne fume plus pour m'amuser, je fume par nécessité, je fume parce que je le dois, je me dois de me tranquilliser, de mentir une fois de plus à ma conscience, oublier qui je suis, oublier ma vie de mensonges. Ma vie n'est qu'un paradis artificiel , tout est faux, je me mentais, le mensonge m'a ruiné, je fais faillite, je vais devoir fermé la boutique. Je me rappel tirer à la carabine pour évacuer ma haine, je m'imaginais buter des gens dès que je faisais un carton, maintenant j'ai envie de me pointer la carabine sur la tête, voir si j'ai les couilles de tirer, voir si j'ai du cran et si je tiens toujours à cette chienne de vie. Heureusement elle n'est pas à porter de main, j'ai juste un bou de shit, je vais pouvoir calmer ma crise d'angoisse, je sais qu'elle ne réglera riens, mais elle est mon passe droit vers une tranquillité artificiel. J'ai peur de me regarder dans un miroir, je n'aime pas l'image que j'y vois, car c'est bien l'image d'un raté qui s'y imprime quoi que je fasse, même la tête rasé, je retrouverai toujours cette image, même la peau noir, je me retrouverais, la vérité c 'est que je ne peux pas me saquer, non seulement je gâche ma vie, mais je pourris celle des autres, j'ai couché avec l'ex d'un pote, et fou le bordel dans d'autres couples qui étaient stables depuis longtemps. Que puis je faire, je ne peux pas résister à l'appel de l'autre sexe, je vois chez chaque femme une chose qui me fait l'aimer, une courbe, un sourire, un charme, et je l'aime, 10 minutes, 10 heures ou 10 jours. Je comprend pourquoi je suis seul, je devais changer de vie, mais je n'ai pas réussi, je dois toujours prendre d'autres chemins, pleins d'embuches et de pièges. Je suis comme un marathonien face au mur du 30eme kilomètre, il me paraît infranchissable, mais je ne peux pas rebrousser chemin, ni m'arrêter, et même si je continue, ce ne serait que retarder la date fatidique de mon prochain échec. A quoi bon résister, si ce n'est cet espoir, ce sale espoir d'une vie meilleur, l'espoir que je réussirais et connaitrais enfin le bonheur durable et pas seulement des petits plaisirs suivis inlassablement d'un terrible ennuis et de solitude.

Se reprendre en main est une chose délicate, il faut arrêter toutes les choses qui constituaient notre personnalité, reprendre tout depuis le début comme une renaissance.

 

Il semble à présent voir la vie différemment, il se confesse à lui même tout en sachant qu'il est incapable de mener une autre vie, ce serait trop dur, cependant, il voit comme une porte de sortie qu'il appel renaissance, le début d'une nouvelle vie de vertu, mais qu'il n'atteindra jamais. Cet ado est comme un personnage tragique, on veut qu'il réussisse mais il échoue sans cesse, et l'on sait que la fin sera comme un ballade irlandaise, il n'y a pas de beaux jours heureux ni d'enfants joyeux, seulement déchéance et l'inéluctable route de l'échec qu'il s'attache à suivre . En fin de compte, on sait qu'il n'y aura pas de fin heureuse, pas pour lui, il est trop occupé à détruire sa vie.

 

 

J'ai connu un mec qui vendait des extas, il a mal tourné, faut dire, la vie ne lui a pas fait de cadeaux, son père s'est suicidé, sa mère est restée seule à l'élever. Il a pas eu une vie facile, c 'est le moins qu'on puisse dire, il a toujours des emmerdes avec des gros des quartiers chauds. Il a arrêté le collège, maintenant il fait plus rien, il tourne à l'acide et passe ses journées avec sa copine. Alors, une choses m'étonne, pourquoi, moi qui n'ai pas eu tous ces problèmes je m'en retrouve a ne plus avoir de lycée. Et oui, j'ai été viré de mon bahu, du moins, ils ne me reprennent pas l'année prochaine, je sais pas ce que je vais bien pouvoir faire, car je sais rien faire et en plus j'ai pas 18ans. Mes parents n'ont pas dis grand chose, je crois qu'ils ont baissés les bras. J'ai plus envie d'aller au lycée, je m'ennuie trop, et j'ai la sensation de perdre mon temps.

 

 

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Coup de cœur : 8 / Technique : 7

Commentaires :

pseudo : che

Tu as un vrai don de l'écriture, juste en passant, c 'est de la fiction ou c 'est une autobiographie? ton texte est très saisissant, et ton écriture très conceptuel, tu pourrais percer, contacte moi

pseudo : C.B

j'aime ton écriture, elle pourrait être plus fluide avec du travail, à tu déjà pensés à devenir écrvain? a contacter une maison d'édition?

pseudo : sickboy

merci, c 'est sympas de prêter attention à ce que j'écris, mais je n'ai pas vraiment l'intention de devenir écrivain, merci quand même.

pseudo : gaillimard

Dommage, il me semble que tu aurais pu exploiter tes capacités a percévérer dans l'écriture, moi j'adore, toute cette tention, ces changements de comportement, ton style d'écriture d'un genr très nouveau, chapeau...