J’ai été caressé comme un chien
Comme un animal blessé
Comme quelqu’un qu’il faut soigner
J’ai détesté ressentir ça
J’ai détesté ça à vouloir en finir
A briser les vitres, à arracher les arbres
A crier sur les toits tous les mots interdits
A m’attaquer aux faibles, et à être bien après
Et vous aujourd’hui qui voulait peut-être suivre ce chemin
Je vous en prie, ne soyez pas méchant
N’ayez surtout pas pitié de moi
Prends-moi comme ton semblable
Aussi capable, aussi forte qu’un homme
Et ne m’aime pas si tu veux
Mais reste toujours celui qui est comme moi
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Style : Poème | Par batoule | Voir tous ses textes | Visite : 416
Coup de cœur : 9 / Technique : 8
Commentaires :
pseudo : Iloa
Mais les hommes chère Batoule ne sont pas plus forts que les femmes. Et puis, jamais la force ne se compare à un autre...Elle est intérieure à soi et ne concerne que soi...Je crois. L'autre nous aide à grandir où nous écrase...C'est selon ce que nous acceptons.
pseudo : batoule
Des paroles à méditer Iloa, merci à toi
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