Sur un banc du village il s’était installé Regardant passer les filles, légères et court vêtues Pourtant sa vie, il l’avait déjà bien vécue Mais à tous ces plaisirs il ne pouvait résister Il était sur, tout à fait convaincu Que l’amour effeuillé pendant toutes ces années Ne pouvait en lui enlever le respect Préservant l’envie de regarder les petits culs Chaque fois il pensait et savait Des comme ça il en avait attrapé Cajolées embrassées et souvent étendues Les poupées ne s’étaient jamais défendues Il souriait, revivant ses amours passés Quand une brunette, très légèrement vêtue Par son âge avancé, plutôt intéressée Proposa d’emblée son fruit défendu S’il refusait, sur elle serait déçue Fidèle à lui-même et l’envie qui naissait Pour plaire a cette belle écervelée Il nota sur sa liste un prénom de plus ….
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Style : Poème | Par eureka | Voir tous ses textes | Visite : 244
Coup de cœur : 8 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : eglantine
Un moment délicieux ce temps du bonheur passée. Beau poème qui rappelle le bon temps!
pseudo : Iloa
Tous les hommes sont faillibles. Si la femme ne va pas ( généralement ) vers un homme beaucoup plus jeune, c'est parce qu'elle a porté un enfant qui a l'âge de cet homme. Elle ressent un sentiment incestueux.Dans ce cas là, la femme pense avec son ventre, l'homme avec sa tête...et la tête se perd peut être plus facilement devant la beauté de la jeunesse...Voilà, je suis bavarde ce soir. Ton poème est très beau.
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