Sans trop te déranger, je viens t'offrir des roses,
De celles que l'on cueille à l'aurore au jardin,
Dont le pétale est doux comme peau de satin
Et garde le parfum des fleurs à peine écloses.
Il m'arrive souvent, alors que tu reposes
Au pied du vieux cyprès, de venir le matin,
ecouter ton silence en un jour incertain
Qui plonge dans le gris mon coeur dont tu disposes.
L'oubli n'a pas de place en mon esprit meurtri.
Ton brûlant souvenir jamais ne se flétrit.
Il n'est plus granamour que l'amour d'une mère.
Je ne vois plus tes yeux, je n'entends plus tes pas;
Alors, dis moi comment, dis-moi par quel mystère,
Tu me guides toujours par-delà le trépas
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par coello pierre | Voir tous ses textes | Visite : 3521
Coup de cœur : 15 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : monalisa
L'AMOUR D'UNE MÈRE EST ÉTERNELLE INFINIMENT GRAND TOUJOURS EN NOUS. PIERRE TES MOTS SONT DES FLEURS QUI ÉCLOSE DANS NOTRE ÄME.
pseudo : jamendo
Une poésie touchante qui va droite au coeur Merci de rappeler à ceux qui oublis parfois que l'amour d'une mère est éphémère et qu'il faut en profiter à chaque instant.
pseudo : bijoucontemporain
joli sonnet, grand fils, lecteur comblé
pseudo : pif87
très belle chute , les règles difficile du sonnet sont bien respectées bravo...
pseudo : ficelle
une maman...Merci de lui rendre un si bel hommage.
pseudo : abyssale
Ta maman te manque je supose...bel hômmage
pseudo : rouaux yann
super poème bravo
Nombre de visites : 37900