Ta main posée sur mon coeur aride,
Lui redonnant vie à chaque caresse.
Un long silence parcourt mes entrailles,
Avant, que la nuit n'éclate en sanglots.
Pensant, à cette main déjà lointaine.
Les orchidées ondulent le long des branches,
Comme ta main ur ma nuque frissonnante.
Insouciantes dans une nature sauvage et impénétrable,
Provocatrice dans un esprit libre de tout sentiment.
L'arbre meurt de la main de l'homme,
Emportant avec lui les fleurs éplorées.
Tristes de ne plus pouvoir offrir leur beauté,
A ce géant qui les nourrit de sa vie.
Le coeur de l'homme meurt de la main d'une femme,
Emportant avec lui les sentiments qui fleurissaient pour elle.
Triste de ne pouvoir offrir la sincérité de son âme,
A cette main, qui scia l'aubier, source de ses battements.
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Style : Poème | Par jamendo | Voir tous ses textes | Visite : 815
Coup de cœur : 13 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : Batoule
Magnifique ton texte jamendo, merci de nous l'avoir fait partagé
pseudo : Ewilan
Tout simplement magnifique, que dire de plus... Je ne suis pas douée pour commenter. j'ai remarquée une petite faute innoffensive: Au vers 2 : Les orchidées ondulent le long des branches, Comme ta main ur (sur * ) ma nuque frissonnante. Insouciantes dans une nature sauvage et impénétrable, Provocatrice dans un esprit libre de tout sentiment. Voilà ne laissons pas cette absence de "s" gâcher ton beau poème ! Au plaisir.
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