Je cherche dans ma tête, ce qui me fait défaut
Pourquoi ne puis je pas être, sans far ni faux semblants
L'être pur et sans tâche que j'étais au berceau
Sorti comme par miracle des rivages sanglants
Mourant sur une plage de tendres sentiments
Je fut comme mes semblables protégé par maman
mais qui pour mon malheur, dut trop rapidement
laisser la place pour d'autres ou pour moi, simplement
Car nul ne vient au monde sans engendrer douleur
Rien ne vient à la vie sans générer la mort
Mais toutes vie sur terre n'engendre que bonheur
Pour peu que le naissant soit libre de son sort
Oyez, vous que les dieux vous ont parés d'oreilles
Regarder de ces yeux qui vous sont octroyer
Par la mère nature qui chaque jour vous veille
Afin que vos petites vies soit protégées
J'ai conscience maintenant que pour me mettre au monde
Ma mère a dut choisir entre vivre ou mourir
Et je voudrais ce jour crier de par le monde
Que ma maman vivra toujours par mon sourire
Sourire que je dispense à qui veut bien le voir
Petite graine de bonheur distribuées au vent
Pour ceux qui par nature ont encore le pouvoir
De récolter chaque jours les graines de sentiments
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Style : Poème | Par andy cooltown | Voir tous ses textes | Visite : 235
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