Goutte à goutte
Glisse le long de son bras
Le sang du malfrat
Ses "amis" l'ont mis out
Les plus bons coups
S'étaient à eux qu'il les doit
Maintenant, c'est sa mort qu'il reçoit
Sentence en plusieurs à-coups
"Offerte par la maison, fréro
Alors j'espère que t'apprécies le cadeau.
Tu sais, tout a une fin
Et aujourd'hui, j'ai décidé qu'enfin
La tienne est arrivée
Et sur la même lignée,
Ta famille. ça va débarrasser
Le plancher. Allez, les gars
C'est pas tout ça
Mais faudrait qu'on s'y mette"
Les balles ont fusé et les corps
Un à un, se sont écroulés. Morts
Comme des pantins abandonnés
Par leur maître. S'en est allé
Dans cet ailleurs, au Royaume des Ombres,
Sa vie miséreuse et son être agonisant
Perte.
Mignardise
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Style : Poème | Par Mignardise 974 | Voir tous ses textes | Visite : 162
Coup de cœur : 9 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : w
Texte intéressant à la soprano poétisée. CDC !
pseudo : Iloa
Quand le lien familial est rompu, on perd la moitié de soi. Quand les amis sont partis, on perd la moitié de la demie de soi...Reste un petit quart pour les gens à part. Ceux qui ne sont pas soi. Mais qui pourraient devenir des amis, je crois. Un grand coup de cœur ce poème !
pseudo : Mignardise 974
Merci ! =D
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