Car dans cette masse scolaire, partagée entre retardataires, mecs en chien, droguées, catins et culs bénis, il se trouve encore des gens qui abusent de naiveté comme bouclier contre leur connerie.

Penchant humain futilement irritant.Colère interne non compensée par fatigue du travail. Mon bonheur explosé par inculte ahurie. Et qu'on vienne balancer "je comprend" alors que toutes les lettres du mot -m-a-t-u-r-i-t-é- n'ont pas encore naquit dans son insupportable, faible, petit esprit. Mesquinerie de dentelle qui me donne envie de cogner comme un bonhomme. Lui remonter les bretelles au point que ma haine s'enfonce jusque son putain de sternum. Je voudrais lui faire bouffer ses dents par son attitude si fausse. Et imaginer son immolation tellement ma peine est grosse.
Allons-y gaiement et joueons avec mon coeur ou cet être cher. Je lui jure sans jurons lui insufler une douleur digne de ce charmant enfer.
Je magne les mots comme les notes, qu'elle sanglote et se repentisse, car ces mots de trop petite sotte t'autoprojecte sur une douce pente lisse.
Mon amour à moi il m'appartient qu'on y pense pas à lui j'y tiens. Rentre dans ta campagne charmante dame avant que ma folie plus forte que ton envie provoque quelques drames. Et qu'on me comprenne si j'aspire la haine, expulsant la peine aux moyens des armes. Et qu'on se la ferme si on ne comprend pas qu'au sentiment d'amour on y touche pas.
Mon amour à moi il m'appartient, on ne l'effleure pas, à lui j'y tiens